Les 5 mesures clés pour réduire les accidents du travail dans votre entreprise
La sécurité au travail est un enjeu majeur pour toutes les entreprises. Chaque année, les accidents du travail impactent des milliers de salariés et coûtent cher aux employeurs. Adopter des mesures concrètes pour réduire ces risques est essentiel pour protéger vos équipes et votre activité. Voici les 5 actions clés que vous pouvez mettre en place dès aujourd’hui. Récemment, le gouvernement français à lancer une campagne afin de renforcer la prévention au travail.
1. Former régulièrement vos salariés
Pourquoi ?
La formation en sécurité au travail est la première étape pour prévenir les accidents. Elle sensibilise vos collaborateurs aux dangers spécifiques de leurs métiers et leur apprend les gestes et comportements sécuritaires.
Comment agir ?
Chez Secutop, nous proposons des formations adaptées à chaque secteur d’activité : prévention des risques physiques, sécurité incendie, utilisation d’équipements spécifiques, etc. En savoir plus.
2. Aménager les postes de travail
Pourquoi ?
Un environnement mal adapté peut être une source importante d’accidents, notamment liés aux troubles musculo-squelettiques (TMS) ou aux glissades.
Comment agir ?
- Installez des équipements ergonomiques pour limiter les postures inconfortables.
- Mettez en place des signalétiques pour identifier les zones à risque.
- Réorganisez les espaces pour éviter les obstacles et garantir une circulation fluide.
3. Évaluer et suivre les risques avec un DUERP
Pourquoi ?
Le Document Unique d'Évaluation des Risques Professionnels (DUERP) permet d’identifier les risques spécifiques à votre activité et de mettre en œuvre des actions correctives.
Comment agir ?
Mettez à jour régulièrement votre DUERP et associez-le à un plan d’action précis. Secutop peut vous accompagner dans cette démarche grâce à des solutions de digitalisation et d’audit. Découvrir nos services.
4. Impliquer vos équipes dans la culture de sécurité
Pourquoi ?
Une démarche participative renforce l’engagement des salariés et garantit une meilleure adoption des consignes de sécurité.
Comment agir ?
- Organisez des ateliers de sensibilisation et des journées thématiques.
- Créez un référent sécurité ou un comité dédié à la prévention.
- Encouragez vos salariés à signaler les situations dangereuses.
5. Entretenir et vérifier régulièrement les équipements
Pourquoi ?
Des machines ou outils défectueux sont une cause fréquente d'accidents.
Comment agir ?
- Planifiez des contrôles réguliers et remplacez les équipements obsolètes.
- Assurez-vous que vos employés utilisent les équipements de protection individuelle (EPI).
Passez à l’action avec Secutop
Chez Secutop, nous aidons les entreprises à construire un environnement de travail plus sûr grâce à :
- Des audits de sécurité sur site.
- Des solutions de digitalisation du DUERP.
- Des formations sur mesure adaptées à vos besoins.
Découvrez nos services pour la sécurité au travail ici et prenez contact pour évaluer gratuitement vos besoins.
FAQ
Les secteurs à risques incluent la construction, l’industrie, et le transport. Cependant, toutes les entreprises sont concernées.
Oui, toute entreprise, même avec un seul salarié, doit posséder un DUERP.
Cela dépend de la taille de l’entreprise et des risques identifiés. Avec Secutop, vous bénéficiez d’un accompagnement rapide et efficace.
En cas d’accident du travail, l’employeur est tenu de maintenir le salaire du salarié blessé pendant les jours de carence fixés par la convention collective. Ensuite, c’est la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) qui prend en charge les indemnités journalières versées au salarié, à hauteur de 60 à 80 % de son salaire brut.
Le montant des indemnités journalières est calculé en fonction du salaire brut journalier du salarié : Pour les 28 premiers jours : 60 % du salaire journalier de base (plafonné à 360,43 € par jour en 2024). À partir du 29ᵉ jour : 80 % du salaire journalier de base (plafonné à 480,58 € par jour en 2024). Le salaire journalier de base est obtenu en divisant le salaire brut des trois derniers mois précédant l'accident par le nombre de jours travaillés. Pour une estimation précise, vous pouvez consulter la CPAM ou un expert en paie.
Pendant l’arrêt de travail, le salarié perçoit : Un maintien partiel ou total du salaire par l’employeur pendant une période définie par la convention collective. Des indemnités journalières versées par la CPAM pour compenser une partie de la perte de revenus. En général, les indemnités permettent de garantir au moins 90 % du salaire net, voire davantage si un complément est prévu par l’employeur ou une assurance complémentaire.